Bulletin d’informations 2014

"Ne confondez pas la vérité avec l'opinion de la majorité"

Parce que ...

Souvenez-vous ...

..Tout est relatif.


Saviez-vous que ..................


… le mois précédent, plusieurs amateurs trouvaient cela étrange que leurs pigeons avaient encore une infection modérée à la Trichomoniase visible sur l’écran après une cure par l'eau potable de cinq ou six jours lors d’un contrôle?

… lorsqu’il y a le «R» dans le mois les cures dans l’eau potable ne fonctionnent plus?
Administrez donc les remèdes nécessaires dans la nourriture ou même mieux deux jours d’affilée, par une capsule individuelle.

..il y a des colombophiles qui ‘savent mieux’, qui administrent donc encore dans l'eau potable et qui sont la cause de la résistance contre certains médicaments? Et que c’est une partie de la raison pour laquelle le dosage du médicament est déjà élevé six fois au cours des 15 dernières années pour rester efficace?

Evaluation

La saison se termine. Pour de nombreux colombophiles, il y a eu beaucoup de plaisir, pour d'autres, de grosses déceptions, même s’ils ont agi comme l'année dernière et que cela c’était très bien passé. Dans ce monde, il n'y a pas deux ans qui se ressemblent. Il peut y avoir tellement de facteurs qui jettent des bâtons dans les roues.

Un commentaire que j'entend souvent, c'est qu’il ne cesse de naître de nouvelles maladies. C’est sur que ce n’est pas aussi simple qu’il y a 25 ans, mais ce n’est pas la catastrophe non plus. Lorsque nous contrôlions la Coccidiose, les Vers et la Tricho, nous contrôlions presque tout. Parfois, un remède pour les problèmes respiratoires et voilà tout était en ordre. Mais plus aujourd'hui. Du moins pour de nombreux amateurs. Ce qui a changé en ce moment?

Tout d'abord, le nombre de pigeons a considérablement augmenté dans les lofts. Des lofts de plus de 100 ou 200 oiseaux ne font pas exception.
Il est évident que dans ces lofts, le taux d’infection peut augmenter considérablement. Le fait est que si l’on rassemble plusieurs personnes ou des animaux, eventuellement dans des conditions stressantes, que l’on fait prospérer la propagation des infections. Surtout chez les êtres qui ont une résistance réduite.